• Un résumé de notre étude

    Les conques marines (Strombus gigas)

    La conque mère est la plus grosse conque de la famille Strombidae et elle est répartie de la Floride jusqu'au Brazil. Elles peut atteindre une taille de 30 cm et elle peut être mangée. Quand elle est vivante, elle est blanche et les lèvres extérieures sont d'un rose vif.

    Il est rare qu l'on puisse trouvé les conques sur les îles très peuplées. Les peuples indigènes récoltent la conque et mange sa viande. C'est contre la loi d'importer les conques au Canada, qu'elles soient mortes ou vivantes. Elle est considérée comme étant une espèce en voies d'extinction et le gouvernement canadien tente de la préserver en conjonction avec les pays qui l'abritent. Toutes les conques que nous avons collectionnées pour cette étude étaient déjà mortes.

    La conque a une coquille très robuste qui forme un mur épais à l'intérieur de la coquille, ce qui lui procure un excellent moyen de défense. Ce trait facilite également leur étude puisqu'elles peuvent endurer plusieurs années de dégradation sans que ceci affecte la coquille au complèt. La coquille extérieur agit plutôt comme un record de ce qui lui est arrivé depuis sa mort.


    La conque habite toutes les régions du récif et elle est présente sous plusieurs différentes tailles. La dégradation dépend de plusieurs facteurs comme, par exemple, la durée et le degré de son enterrement et le montant et le type d'érosion, etc.

    Nous avons remarqué qu'une conque en particulier, enterrée dans les sédiments du fond de mer, était plus ou moins protég des éléments biologiques mais quand même exposéposée aux organismes incustants.

    Ces organismes, tels que les foraminifères rouges Homatrema rubrum, les serpules et les gastéropodes sont communs à la plupart des coquilles. Ces organismes sont caractéristiques de cette région mais ils s'attachent à tous types de coquilles ainsi qu'à d'autres organismes.


    Dans tous les échantillons que nous avons ramassés, nous avons remarqué un trait commun qui se manifeste sous la forme d'un trou dans la coquille. Ceci est sans doute le résultat d'un type d'érosion quelconque ou d'une perturbation biologique.